Chaque année, 1,2 millions1 d’étudiants quittent le domicile familial.... soit autant de chambres temporairement ou définitivement inoccupées. Et si elles pouvaient continuer à être utiles ?
C’est la rentrée scolaire ! Cette année encore, près de 3 millions d’étudiants font leur rentrée sur les bancs de la fac ou d’une école loin de chez eux. Parmi eux, 1,2 million ne vivent plus chez leurs parents, soit des centaines de milliers de chambres temporairement ou définitivement inoccupées.
Chez J’accueille, nous nous engageons contre le gaspillage immobilier et proposons une solution simple, qui contribue, à sa façon, à répondre à la crise du logement qui touche tout le monde : et si vous décidiez d'accueillir une personne réfugiée le temps de quelques mois ?
En 2023, 60 808 personnes se sont vu octroyer le statut de personnes réfugiées en France. En partie hébergées dans des centres d’accueil adaptés au cours de leur période de demande d’asile, et devant quitter ces centres une fois la protection de la France obtenue, les personnes réfugiées peinent à trouver des solutions d’hébergement. C’est pourquoi chez J’accueille, les équipes mettent en lien des personnes réfugiées sans logement et des personnes ayant une chambre de libre et souhaitant accueillir quelques jours ou quelques mois. L’objectif : leur offrir la stabilité nécessaire pour gagner en autonomie, jusqu’à pouvoir accéder à leur propre solution de logement.
Avec plus de 1200 cohabitations accompagnées en 9 ans, la philosophie de l’association est de privilégier les rencontres significatives, l’échange autour de la langue, l’apprentissage mutuel des codes de chacun, selon les affinités pour que ce soit le plus enrichissant possible pour tout le monde.
“L’obtention de la protection internationale ne marque pas la fin d’un parcours migratoire. De nombreux obstacles restent à surmonter une fois l’asile obtenu afin d’accéder à une situation personnelle et professionnelle durable, tels que : l’apprentissage de la langue française, la recherche de logement, la maîtrise des codes socio-culturels français ou encore l’isolement social fréquent. Les cohabitations que nous accompagnons, permettent
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